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Golden Sun : The Lost Age par eagle le 24/08/2004 @ 19:12
Golden Sun... Si vous êtes un tant soit peu joueur sur GBA, impossible que vous n'en ayez jamais entendu parler. Le premier opus était une véritable révolution sur la console, la preuve que la GBA est capable du pire comme du meilleur. Un RPG long, beau, riche, accrocheur comme on en a rarement vu, toutes consoles confondues. Il était donc inévitable qu'une suite voie le jour, et c'est chose faite depuis le 21 Juin 2002 au Japon, et maintenant chez nous aussi. Alors, l'attente en valait-elle la peine?
Eh bien, oui et non. D'un côté nous avons une nouvelle fois un grand jeu, une perle rare du RPG -je reviendrai plus loin sur ce point-... Mais d'un autre côté, ce jeu magnifique est complètement gâché par un énorme point noir: la traduction du jeu. Non pas que le jeu soit bourré de fautes d'orthographe, loin de là; le problème vient surtout du choix discutable des traducteurs, qui ont systématiquement préféré des phrases toujours bien construites, avec un vocabulaire choisi, etc... Au final, tous les personnages discutent dans un langage ultra-soutenu, ce qui fait vraiment tâche dans un scénario par ailleurs superbe. Le résultat est le même que dans le premier Golden Sun: les personnages ont tous l'air incroyablement naïfs. Perdus sur une île qui part à la dérive, les protagonistes parlementent comme dans un dîner mondain... Et je peux vous assurer qu'il n'en était rien dans la version anglaise! On en vient donc à se demander pourquoi avoir attendu six mois pour ce résultat désolant. Donc, si vous êtes bilingue, faites l'impasse sur cette version française et dépêchez-vous d'importer le jeu US, autrement plus "épique" dans ses discours. Mais bon, je chipote peut-être un peu... Malgré ce vocabulaire châtié, la qualité de la traduction en elle-même n'est pas mauvaise: l'histoire se laisse suivre avec plaisir, et on comprend à peu près tout ce qui se dit, sans contre-sens ou énorme bourde impardonnable. L'essentiel est là, donc...
Maintenant que j'ai parlé des spécificités de cette version francisée, la suite du test vous sera familière si vous avez déjà joué au jeu dans une autre langue.
Commençons par une question qui doit sûrement vous tracasser: "Et si je n'ai pas joué à Golden Sun, puis-je jouer à l'Age Perdu?". Réponse: Oui... En théorie. Au lancement du jeu, on vous demandera le nom que vous souhaitez donner à Pavel (le héros de l'Age Perdu, déjà aperçu dans Golden Sun), puis on vous demandera si vous avez déjà joué (et terminé) le premier Golden Sun. Si tel est le cas, vous pourrez récupérer votre mot de passe, qui traînait au fond de votre placard depuis 1 an et demi. Il existe trois types de mots de passe, chacun récupérant plus ou moins de données. Mais attention: le mot de passe Or, qui transfère la totalité de votre sauvegarde (niveaux, Djinns, objets, argent, statistiques), occupe pas moins de 6 écrans!! Il faudra prendre son mal en patience... A moins d'avoir 2 GBA et un câble Link sous la main, auquel cas vous pourrez transférer votre sauvegarde directement.
En revanche, si vous n'avez jamais joué au premier Golden Sun, pas de panique: vous ne serez pas (trop) pénalisés: il vous manquera juste les 28 Djinns (sortes de monstres, qu'il faut collectionner pour acquérir des invocations dévastatrices) de GS1, fermant ainsi l'accès au donjon secret du jeu. Et vous passerez à côté de certaines subtilités du scénario, même si celui-ci est brillament résumé dans l'intro du jeu. Donc, en théorie, il est possible de commencer l'aventure par l'Age Perdu, mais dans la pratique, c'est fortement déconseillé, et je vous recommande chaudement de (re)commencer par le premier Golden Sun, qui aujourd'hui encore reste une référence de la GBA. Oui, honte à Nintendo pour ce choix purement marketing qui nous donne l'impression d'être des machines à sous au profit de Big N... mmh, je m'égare.
Passé cette intro, l'histoire reprend au moment où s'était arrêté Golden Sun... Plus exactement, juste avant que le Phare de Vénus ne soit allumé. Grosse surprise pour les fans: les développeurs nous ont pris à revers, et vous vivrez l'aventure à travers les yeux de Pavel! Et oui, exit Vlad pour au moins 20 heures de jeu. Les deux groupes finiront par se réunir pour affronter un ennemi commun. Et là vous me direz: "Comment Vlad, qui veut empêcher les phares d'être allumés, peut-il s'associer avec Pavel qui souhaite les allumer, lui?". Eh bien... chhhhut, vous le saurez en jouant vous-même ;-). Ce qui est sûr, c'est que l'histoire est incroyablement riche et passionnante, et malgré quelques longueurs dues à des dialogues toujours aussi longs, on va toujours de surprises en découvertes.Vous jouerez, donc, aux côtés de Pavel, Lina, Cylia, Thélos (qui ne se bat pas), et un nouveau personnage, Piers. Sans trop rentrer le détail, sachez qu'il vient de Lémuria... l'île des Anciens, ça ne vous dit rien?
Le scénario justifierait à lui seul l'achat du soft, mais Camelot a cru bon d'ajouter une foule de nouveautés par-ci par-là... à raison, et bien lui en a pris! A commencer par la carte du monde, carrément 4 fois plus grande que par le passé!! Elle est tout simplement monstrueusement grande, et augure de nombreuses heures de jeu. Oui, tout est multiplié par quatre dans l'Age Perdu... la durée de vie aussi. Si vous allez droit au but, il vous faudra une trentaine d'heures; mais si vous aimez les quêtes annexes longues et dures, vous allez être comblés. Ne serait-ce que la quête des Djinns, désormais au nombre de 72 (!!!), qu'il faudra traquer partout dans le monde de Weyard... A noter aussi, la possibilité de rejouer au jeu une fois fini, mais en mode Hard, ce qui corse sérieusement la difficulté (bonjour boss à 19 000 PV et compagnie...), plus un donjon secret, plus... Pfff, vous en aurez pour votre argent, et il va falloir en passer des nuits blanches, si vous voulez tout trouver dans le jeu...
Autre nouveauté plus qu'appréciable: la liberté de jeu. Durant les cinq premières heures, vous ne vous en appercevrez pas; mais vous trouverez très vite un bateau, qui vous permettra de vous balader où bon vous semble dans le monde. Si vous préférez les RPGs de ces dernières années, où l'on vous guide pas-à-pas, l'Age Perdu vous fera vomir; les nostalgiques et les vrais joueurs, en revanche, apprécieront ce petit côté "old-school" qui accompagne les longues traversées (ultra-longues et ennuyeuses, soit-dit en passant... le syndrôme Wind Waker a encore frappé :-D). Très souvent, vous découvrirez, au hasard, un donjon que vous explorerez à moitié, et vous ferez demi-tour à cause d'une Psynergie que vous auriez du avoir il y a de nombreuses heures... Vous ferez donc pas mal d'aller-retours sur la carte, et par la même occasion, du level-up. Si bien que vous n'aurez jamais besoin de vous arrêter pour vous entraîner dans l'Age Perdu. Ajoutez à celà les nombreux donjons, aux énigmes toujours mieux pensées les unes que les autres, et il n'y aura pas que l'âge qui sera perdu... :-)
Graphiquement parlant, Camelot nous démontre encore une fois tout son savoir-faire. Le moteur de jeu n'a certes pas changé d'un pixel, mais il est incroyablement enrichi. Les décors sont plus variés que jamais, les effets d'eau sont encore plus réussis, le jeu est un chouïa plus fin, et les Psynergies sont toutes plus belles les unes que les autres. On retrouve les combats astucieusement conçus en mode 7, qui donne une impression de 3D aux batailles; mention spéciale pour les invocations, qui enterrent tout ce que vous avez pu voir sur GBA. Ouvrez bien les yeux et accrochez-vous: l'Age Perdu est définitivement le plus beau jeu de la GBA!
La maniabilité ne pose toujours aucun problème. Le système de jeu est considérablement enrichi: le nombre de Djinns hallucinant donne accès à de nouvelles classes, donc à de nouvelles Psynergies, à utiliser dans et en dehors des combats, ce qui permet de résoudre les énigmes. Système au poil donc, renforcé par une petite nouveauté: des objets-cartes, qui permettent de changer instantanément de classe dès qu'on s'en équipe. Le gameplay est donc digne d'un grand RPG, c'est le pied!
Musicalement parlant, on assiste à un renouveau: celui de Motoi Sakuraba, qui après un Golden Sun un peu quelconque dans ses thèmes (hormis le thème principal), nous offre un déluge auditif d'une qualité encore jamais entendue sur une console portabe. Courez acheter un casque: les nouvelles musiques, au nombre d'une cinquantaine, sont presque toutes de pures merveilles qui troteront dans votre tête pendant longtemps. Sakuraba revient donc au sommet de sa gloire, et peut se vanter de nous faire oublier Uematsu (le compositeur de tous les thèmes de Final Fantasy, ndlr). On apprécie par ailleurs l'apparition d'un Sound Test caché, dans lequel on peut admirer les quelques 97 mélodies de la saga. Le rêve...
Et pour finir, la durée de vie dont j'ai parlé parlé: faramineuse. Comptez la cinquantaine d'heures, et ajoutez la vingtaine du premier Golden Sun: la saga équivaut en durée à un Final Fantasy classique. Le tout sur console portable: le summum du plaisir :-)
Jouabilité : 4/5
Bande Son : 5/5
Graphismes : 5/5
Durée de vie : 5/5
Bilan : 19/20
Golden Sun... Si vous êtes un tant soit peu joueur sur GBA, impossible que vous n'en ayez jamais entendu parler. Le premier opus était une véritable révolution sur la console, la preuve que la GBA est capable du pire comme du meilleur. Un RPG long, beau, riche, accrocheur comme on en a rarement vu, toutes consoles confondues. Il était donc inévitable qu'une suite voie le jour, et c'est chose faite depuis le 21 Juin 2002 au Japon, et maintenant chez nous aussi. Alors, l'attente en valait-elle la peine?
Eh bien, oui et non. D'un côté nous avons une nouvelle fois un grand jeu, une perle rare du RPG -je reviendrai plus loin sur ce point-... Mais d'un autre côté, ce jeu magnifique est complètement gâché par un énorme point noir: la traduction du jeu. Non pas que le jeu soit bourré de fautes d'orthographe, loin de là; le problème vient surtout du choix discutable des traducteurs, qui ont systématiquement préféré des phrases toujours bien construites, avec un vocabulaire choisi, etc... Au final, tous les personnages discutent dans un langage ultra-soutenu, ce qui fait vraiment tâche dans un scénario par ailleurs superbe. Le résultat est le même que dans le premier Golden Sun: les personnages ont tous l'air incroyablement naïfs. Perdus sur une île qui part à la dérive, les protagonistes parlementent comme dans un dîner mondain... Et je peux vous assurer qu'il n'en était rien dans la version anglaise! On en vient donc à se demander pourquoi avoir attendu six mois pour ce résultat désolant. Donc, si vous êtes bilingue, faites l'impasse sur cette version française et dépêchez-vous d'importer le jeu US, autrement plus "épique" dans ses discours. Mais bon, je chipote peut-être un peu... Malgré ce vocabulaire châtié, la qualité de la traduction en elle-même n'est pas mauvaise: l'histoire se laisse suivre avec plaisir, et on comprend à peu près tout ce qui se dit, sans contre-sens ou énorme bourde impardonnable. L'essentiel est là, donc...
Maintenant que j'ai parlé des spécificités de cette version francisée, la suite du test vous sera familière si vous avez déjà joué au jeu dans une autre langue.
Commençons par une question qui doit sûrement vous tracasser: "Et si je n'ai pas joué à Golden Sun, puis-je jouer à l'Age Perdu?". Réponse: Oui... En théorie. Au lancement du jeu, on vous demandera le nom que vous souhaitez donner à Pavel (le héros de l'Age Perdu, déjà aperçu dans Golden Sun), puis on vous demandera si vous avez déjà joué (et terminé) le premier Golden Sun. Si tel est le cas, vous pourrez récupérer votre mot de passe, qui traînait au fond de votre placard depuis 1 an et demi. Il existe trois types de mots de passe, chacun récupérant plus ou moins de données. Mais attention: le mot de passe Or, qui transfère la totalité de votre sauvegarde (niveaux, Djinns, objets, argent, statistiques), occupe pas moins de 6 écrans!! Il faudra prendre son mal en patience... A moins d'avoir 2 GBA et un câble Link sous la main, auquel cas vous pourrez transférer votre sauvegarde directement.
En revanche, si vous n'avez jamais joué au premier Golden Sun, pas de panique: vous ne serez pas (trop) pénalisés: il vous manquera juste les 28 Djinns (sortes de monstres, qu'il faut collectionner pour acquérir des invocations dévastatrices) de GS1, fermant ainsi l'accès au donjon secret du jeu. Et vous passerez à côté de certaines subtilités du scénario, même si celui-ci est brillament résumé dans l'intro du jeu. Donc, en théorie, il est possible de commencer l'aventure par l'Age Perdu, mais dans la pratique, c'est fortement déconseillé, et je vous recommande chaudement de (re)commencer par le premier Golden Sun, qui aujourd'hui encore reste une référence de la GBA. Oui, honte à Nintendo pour ce choix purement marketing qui nous donne l'impression d'être des machines à sous au profit de Big N... mmh, je m'égare.
Passé cette intro, l'histoire reprend au moment où s'était arrêté Golden Sun... Plus exactement, juste avant que le Phare de Vénus ne soit allumé. Grosse surprise pour les fans: les développeurs nous ont pris à revers, et vous vivrez l'aventure à travers les yeux de Pavel! Et oui, exit Vlad pour au moins 20 heures de jeu. Les deux groupes finiront par se réunir pour affronter un ennemi commun. Et là vous me direz: "Comment Vlad, qui veut empêcher les phares d'être allumés, peut-il s'associer avec Pavel qui souhaite les allumer, lui?". Eh bien... chhhhut, vous le saurez en jouant vous-même ;-). Ce qui est sûr, c'est que l'histoire est incroyablement riche et passionnante, et malgré quelques longueurs dues à des dialogues toujours aussi longs, on va toujours de surprises en découvertes.Vous jouerez, donc, aux côtés de Pavel, Lina, Cylia, Thélos (qui ne se bat pas), et un nouveau personnage, Piers. Sans trop rentrer le détail, sachez qu'il vient de Lémuria... l'île des Anciens, ça ne vous dit rien?
Le scénario justifierait à lui seul l'achat du soft, mais Camelot a cru bon d'ajouter une foule de nouveautés par-ci par-là... à raison, et bien lui en a pris! A commencer par la carte du monde, carrément 4 fois plus grande que par le passé!! Elle est tout simplement monstrueusement grande, et augure de nombreuses heures de jeu. Oui, tout est multiplié par quatre dans l'Age Perdu... la durée de vie aussi. Si vous allez droit au but, il vous faudra une trentaine d'heures; mais si vous aimez les quêtes annexes longues et dures, vous allez être comblés. Ne serait-ce que la quête des Djinns, désormais au nombre de 72 (!!!), qu'il faudra traquer partout dans le monde de Weyard... A noter aussi, la possibilité de rejouer au jeu une fois fini, mais en mode Hard, ce qui corse sérieusement la difficulté (bonjour boss à 19 000 PV et compagnie...), plus un donjon secret, plus... Pfff, vous en aurez pour votre argent, et il va falloir en passer des nuits blanches, si vous voulez tout trouver dans le jeu...
Autre nouveauté plus qu'appréciable: la liberté de jeu. Durant les cinq premières heures, vous ne vous en appercevrez pas; mais vous trouverez très vite un bateau, qui vous permettra de vous balader où bon vous semble dans le monde. Si vous préférez les RPGs de ces dernières années, où l'on vous guide pas-à-pas, l'Age Perdu vous fera vomir; les nostalgiques et les vrais joueurs, en revanche, apprécieront ce petit côté "old-school" qui accompagne les longues traversées (ultra-longues et ennuyeuses, soit-dit en passant... le syndrôme Wind Waker a encore frappé :-D). Très souvent, vous découvrirez, au hasard, un donjon que vous explorerez à moitié, et vous ferez demi-tour à cause d'une Psynergie que vous auriez du avoir il y a de nombreuses heures... Vous ferez donc pas mal d'aller-retours sur la carte, et par la même occasion, du level-up. Si bien que vous n'aurez jamais besoin de vous arrêter pour vous entraîner dans l'Age Perdu. Ajoutez à celà les nombreux donjons, aux énigmes toujours mieux pensées les unes que les autres, et il n'y aura pas que l'âge qui sera perdu... :-)
Graphiquement parlant, Camelot nous démontre encore une fois tout son savoir-faire. Le moteur de jeu n'a certes pas changé d'un pixel, mais il est incroyablement enrichi. Les décors sont plus variés que jamais, les effets d'eau sont encore plus réussis, le jeu est un chouïa plus fin, et les Psynergies sont toutes plus belles les unes que les autres. On retrouve les combats astucieusement conçus en mode 7, qui donne une impression de 3D aux batailles; mention spéciale pour les invocations, qui enterrent tout ce que vous avez pu voir sur GBA. Ouvrez bien les yeux et accrochez-vous: l'Age Perdu est définitivement le plus beau jeu de la GBA!
La maniabilité ne pose toujours aucun problème. Le système de jeu est considérablement enrichi: le nombre de Djinns hallucinant donne accès à de nouvelles classes, donc à de nouvelles Psynergies, à utiliser dans et en dehors des combats, ce qui permet de résoudre les énigmes. Système au poil donc, renforcé par une petite nouveauté: des objets-cartes, qui permettent de changer instantanément de classe dès qu'on s'en équipe. Le gameplay est donc digne d'un grand RPG, c'est le pied!
Musicalement parlant, on assiste à un renouveau: celui de Motoi Sakuraba, qui après un Golden Sun un peu quelconque dans ses thèmes (hormis le thème principal), nous offre un déluge auditif d'une qualité encore jamais entendue sur une console portabe. Courez acheter un casque: les nouvelles musiques, au nombre d'une cinquantaine, sont presque toutes de pures merveilles qui troteront dans votre tête pendant longtemps. Sakuraba revient donc au sommet de sa gloire, et peut se vanter de nous faire oublier Uematsu (le compositeur de tous les thèmes de Final Fantasy, ndlr). On apprécie par ailleurs l'apparition d'un Sound Test caché, dans lequel on peut admirer les quelques 97 mélodies de la saga. Le rêve...
Et pour finir, la durée de vie dont j'ai parlé parlé: faramineuse. Comptez la cinquantaine d'heures, et ajoutez la vingtaine du premier Golden Sun: la saga équivaut en durée à un Final Fantasy classique. Le tout sur console portable: le summum du plaisir :-)
Jouabilité : 4/5
Bande Son : 5/5
Graphismes : 5/5
Durée de vie : 5/5
Bilan : 19/20
Golden Sun : The Lost Age
EDITEUR :
>>Nintendo
DEVELOPPEUR :
>> Camelot
GENRE :
>> RPG
SORTIE :
>> 2002
FICHE :
>> cliquez ici